IForce, entreprise engagée dans des initiatives solidaires, a récemment annoncé son soutien à la Maison des Femmes de Marseille par le biais de sa participation au prestigieux Rallye des Gazelles 2024. Cette collaboration met en avant l’importance de la lutte contre les violences faites aux femmes, un combat central pour la Maison des Femmes.

Une Cause Cruciale

· Protection : Un refuge sûr pour les femmes en danger.

· Soins Médicaux et Psychologiques : Des services de santé pour les aider à se rétablir.

La Maison des Femmes de Marseille est une institution dédiée à l’aide et à la protection des femmes victimes de violences. Elle propose un éventail de services essentiels qui incluent :

· Développement Personnel : Programmes visant à restaurer leur autonomie et à les aider à reconstruire leur vie.

· Éducation : Sensibilisation et prévention pour éviter la répétition des violences.

Les statistiques soulignent l’urgence de cette cause : une femme sur trois dans le monde a été victime de violences physiques ou sexuelles. La Maison des Femmes de Marseille travaille sans relâche pour changer ces chiffres alarmants.

Le Rallye des Gazelles : Un Véhicule de Sensibilisation

Le Rallye des Gazelles, une compétition automobile 100% féminine se déroulant dans le désert marocain, représente une plateforme idéale pour sensibiliser le public à cette cause vitale. En 2024, IForce a été représenté par les pilotes Fatima et Caroline, qui ont porté les couleurs de la Maison des Femmes de Marseille tout au long de cette épreuve de navigation unique.

L’Engagement de IForce

Pour IForce, le soutien à la Maison des Femmes de Marseille est une extension naturelle de ses valeurs. L’entreprise croit fermement que le développement durable d’une société passe par la lutte contre les violences faites aux femmes et la promotion de l’égalité des sexes. En soutenant des initiatives comme celle-ci, IForce s’engage à favoriser un environnement où chaque femme peut vivre en sécurité et s’épanouir pleinement.

Intervention du Dr Sophie Tardieu

Le Dr Sophie Tardieu, co-fondatrice de la Maison des Femmes, a exprimé sa gratitude envers IForce :

« Nous remercions IForce de nous avoir fait ce don à travers le Rallye des Gazelles. Un grand merci à tous les partenaires du rallye mais surtout à Fatima et Caroline. Votre soutien est extraordinaire. Cette maison a pour vocation d’offrir aux femmes vulnérables ou victimes de violences, ainsi qu’à leurs enfants, une prise en charge pluridisciplinaire de proximité par des soignants. PRÉVENIR, SOIGNER ET ACCOMPAGNER. Nous sommes très fiers de vous. »

Une Mobilisation Nécessaire

Les actions de la Maison des Femmes de Marseille sont vitales pour la communauté. En offrant une protection immédiate, des soins et un soutien à long terme, elle joue un rôle indispensable.

Voiture Rallye des gazelles 2024
Fatima & Caroline Rallye des Gazelles

Girls Tech Day Marseille 2024– une initiative soutenue par Iforce pour stimuler l’épanouissement des filles dans le domaine du numérique et des métiers d’avenir.

Le 9 mars 2024 a marqué un événement incontournable dans le paysage marseillais : la 4eme édition du Girls Tech Day.
Kezako me direz-vous?
Dans un contexte où les femmes ne représentent que 17% des effectifs du numérique en France, le secteur qui embauche le plus en ce moment, cet événement a pris une importance cruciale pour encourager la présence féminine dans ce domaine en pleine expansion.

Organisé par un groupe de bénévoles dévoués et soutenu par des entreprises partenaires locales, le Girls Tech Day Marseille a pour objectif d’initier les jeunes filles âgées de 8 à 16 ans aux opportunités offertes par le secteur du numérique. Mais pas seulement. Les garçons étaient également les bienvenus, car la diversité et l’inclusion étaient au cœur de cet événement.

Le 9 mars dernier était encore une fois un après-midi riche en activités ludiques et inspirantes, visant à éveiller la curiosité et à susciter des vocations.
Parmi les nombreux ateliers proposés, les enfants ont eu l’opportunité de programmer un robot, de défendre leurs idées en public, de tester leurs connaissances avec un quizz cyber champion, de créer leur propre gameplay, d’apprendre à détecter les fake news et de participer à la création d’une fresque du Numérique, le tout dans une ambiance détendue agrémentée d’une jolie pause goûter.

Mais les parents n’étaient pas en reste avec une succession de mini présentations de femmes (et quelques hommes😅) au parcours inspirant et atypique, afin de les aider à accompagner au mieux leurs enfants vers les métiers de leur choix.
En effet, les familles n’encouragent pas leurs filles à s’orienter vers les métiers du futur, le plus souvent par conformité à des stéréorypes bien ancrés et malheureusement inconscients.

L’événement s’est tenu, pour la 3e année consécutive à La Plateforme, en plein coeur de Marseille et était, bien entendu, GRATUIT!

Bien plus qu’un simple évènement annuel, cette demi-journée est devenue le RDV clef du territoire pour briser les stéréotypes de genre et encourager les jeunes, filles et garçons, à explorer les innombrables possibilités offertes par le monde numérique.

Quand on sait que 50% des métiers de 2050 n’existent pas encore, on ne peut que soutenir de telles initiatives et même espérer qu’elles prennent plus d’ampleur!

Intervenants : Isabelle Régnier ( AMU), Anne Gautier, Alexandre Sebagh ( TODDA), Pierre Chatelain (Centurio), Aveline Bouquin & Sandra Murisasco ( MAilinblack), Sybille Gérent ( IBM), Laurie Moulin (United Crocos) & Marie Laure Guidi ( MarseilleS)avec l’intervention de Rosina Rajakkannu ( laplateforme), Stephanie Ragu ( medinsoft), frédérique Galanakis ( Bp med)

Marseille – La grande soirée « À jamais solidaires ! » organisée par Iforce en partenariat avec la Fondation de Marseille, s’est conclue sur une note triomphante. L’événement, qui a eu lieu dans l’élégant cadre de l’InterContinental, a marqué un tournant décisif pour la solidarité à Marseille, réunissant mécènes, acteurs locaux et citoyens engagés dans une célébration de l’entraide et de la générosité.

La soirée a été l’occasion de dévoiler la promotion 2024, une initiative ambitieuse visant à réduire les fractures sociales et à promouvoir le bien-être au sein de la communauté marseillaise. Grâce à la générosité des participants, la levée de fonds a atteint des sommets inespérés, avec plus de 200 000 euros collectés, dépassant toutes les attentes.

La réussite de cet événement est un témoignage de la force de la communauté marseillaise et de son engagement envers l’inclusion sociale et le soutien mutuel. C’est un pas de plus vers un Marseille plus solidaire, où chacun a sa part à jouer dans la construction d’un avenir meilleur pour tous.

Avec cette levée de fonds record, la Fondation de Marseille et iForce sont bien armées pour continuer à soutenir et à développer des projets qui font la différence. Les yeux sont désormais tournés vers l’avenir, avec l’espoir que cette soirée marquera le début d’une série d’actions solidaires toujours plus ambitieuses à Marseille.

À l’issue de l’assemblée générale des actionnaires de MGI (la communauté portuaire de Marseille) qui s’est tenue le 21 juin, Denis Liotta a été élu président du conseil de surveillance à la place de Xavier Lassalle, qui a occupé cette fonction pendant 14 années et demeure au conseil en tant que vice-président.

Denis Liotta, déjà membre du conseil de surveillance, dirige Mediaco vrac, qui développe le transit, la logistique portuaire et l’exploitation d’entrepôts au sein du groupe familial marseillais Mediaco. Il est également engagé dans le soutien aux start-ups régionales.

Une réalité qui s’exerce à plusieurs niveaux. Economique dans un premier temps. Puisque l’entrepreneur contribue aux prélèvements collectifs, aux impôts nationaux et locaux, à l’emploi, réinvesti dans le territoire, génère de la richesse qui bénéficie à tous. Plus largement, cette irrigation dans les forces vives du territoire se répercute au niveau social, sociétal et environnemental. L’entrepreneur conscient de son emprise, vise la réduction de l’empreinte carbone, s’approprie les nouvelles technologies et s’engage dans les ENR. Certains s’équipent en panneaux photovoltaïques, d’autres militent pour le covoiturage, et le recyclage…. Plus que jamais la nouvelle génération d’entrepreneur est force de proposition. On le sait, très souvent, le marketing joue son rôle en plein. Personne n’est dupe et les résultats sont là. C’est au cœur de l’entreprise que se profile le changement, avec un entrepreneur acteur d’un nouveau monde régulé par des forces économiques mais soucieux des enjeux environnementaux, c’est le sens de notre histoire européenne.

Mais au-delà, l’entrepreneur engagé, accomplit sa propre transformation, donne le lead aux entreprises à mission, cherche à agréger à ses fonctions une notion d’intérêt général, à activer les leviers qui lui sont propres, par l’amorçage, l’apport des fondations, les entreprises à impact, le rôle des fondations.

C’est sous cette notion mouvante, derrière l’acronyme de cette RSE qui s’invente et se formalise sous de nouveaux aspects que se situent les enjeux d’aujourd’hui et de demain. De mon côté, j’ai choisi une approche large, me permettant d’intervenir sur des sujets à forts impacts sociétaux relatifs notamment à l’éducation.

C’est à ce titre que j’ai mené et mène à bien diverses actions, telles que celles engagées en 2017 au sein de l’OM fondation , ce qui m’encourage à lancer un programme sur l’éducation associant la santé et le sport. C’est aussi dans cet esprit que je me rapproche d’une start up, Edukare créée par Fabien Reynaud, qui encourage le maintien des étudiants méritant dans le circuit scolaire grâce à la mise à disposition de bourses via des partenaires divers. Je souhaite aussi m’engager auprès de l’Ecole de la deuxième chance de Marseille qui effectue un travail formidable toujours dans ce sens, qui m’est cher, de rééquilibrage des chances et de recherche de talents inexploités.

Une pierre d’ancrage pour contribuer à un monde plus juste !

Partager, contribuer… C’est le sens même de l’entrepreneuriat. Cet engagement, j’y crois profondément depuis l’adolescence, puis il a pris forme au sein de l’entreprise dont j’ai la charge. Diriger une entreprise, c’est assurer son avenir, créer son emploi, puis celui d’autres, générer de l’activité dans un secteur, sur un territoire, innover, s’adapter au changement, car le monde change, que l’on pense à la crise sanitaire ou à l’urgence climatique. Etre dans le long terme, éviter cette accélération que l’on nous vend tout le temps, pour être dans du développement durable, tel est le sens de mon engagement.

Se reconnaitre entrepreneur, c’est revendiquer une appartenance, être membre d’un club – même en refusant toute étiquette- qui mise sur l’action, sur l’initiative, pour en faire un moteur. Il s’agit aussi d’en connaitre les limites et accepter les échecs, quelle que soit la définition que l’on en donne. Et prendre ses responsabilités.

 C’est dans cet esprit que j’ai souhaité aller plus loin, en investissant du temps, de l’énergie, de l’expérience avec un premier acte de redistribution d’abord effectué au sein de PBA, Netangels lancé en 2011 puis de mon implication au sein de Marseille innovation. Fort de la volonté qui m’anime de « rendre ce qui m’a été donné » j’ai souhaité également m’engager financièrement. Un cercle vertueux puisqu’en soutenant de jeunes pousses, ma pensée a évolué, s’est affinée, et m’a conduit à développer un modèle qui m’a amené vers quelques succès comme Monshowroom.com, Gamned, French Founders ou encore Avisvérifiés.com (skeepers) etc… vers des échecs aussi, parce que c’est le métier. La confiance, voire la candeur ont du bon, on se trompe parfois. Mais un investisseur n’est pas un entrepreneur. Si les profils sont multiples tous se retrouvent dans la prise de risques et dans des stratégies gagnantes. Oui, il faut avoir des résultats perçus comme des succès pour légitimer son action. Mais si j’ai choisi d’intervenir en amorçage, ce n’est pas un hasard, c’est une réponse à une problématique économique et sociale, gagner ce n’est pas juste lever des millions, c’est créer de l’échange, de l’activité, générer de la richesse, de la valeur ajoutée et ne pas oublier de se remettre souvent en question et s’adapter.

Je suis issu d’une génération individualiste, qui a loupé des coches, celui de la politique, celui de l’écologie. Ces urgences sont là. Il faut y répondre et revenir à cette idée de contribution. C’est dans le mécénat, via l’engagement dans des projets d’envergure que j’oriente aujourd’hui mes initiatives. Inspiré par l’exemple de grands entrepreneurs, je suis convaincu que l’entreprise a son rôle à jouer en alliant ses forces et ses valeurs à celles du sport, de la culture, de l’éducation, pour intervenir sur ces fléaux mondiaux que sont la pauvreté, la maladie, les catastrophes climatiques. Assurons, assumons le durable, ayons l’ambition du temps long pour engager une véritable dynamique de changement.

Denis Liotta